Le sociogénogramme comme soin de libération transgénérationnelle

Réaliser son sociogénogramme, c’est poser sur papier les 3-4 dernières générations, comme un arbre généalogique, mais en ajoutant les nom-prénoms, les dates de naissance et de décès, les métiers, les maladies, les rangs de naissance, les maladies etc…

L’idée est d’essayer de relever si on trouve des répétitions, de prénoms, de métiers, de maladies etc…

Personnellement, lorsque j’ai réalisé le mien, je me suis rendue compte déjà que certains de mes ancêtres n’étaient pas dans le bon ordre au niveau rang de naissance (je pensais que ma mère était l’ainée mais elle était la 3e). J’ai pu aussi mettre des noms sur des membres de ma famille décédés. 

Réaliser ce sociogénogramme permet d’entrer dans le champ inconscient familial, et il permet de remettre de l’ordre, c’est à dire que chaque personne reprenne sa place dans cet inconscient familial. 

Il permet surtout de s’identifier ou de se désidentifier avec certains membres de la famille (avec des prénoms, des métiers, des ressemblances dans le vécu identique ou similaire). 

Il permet aussi de se connaitre davantage, conscientiser que nous avons une part de cet arrière grand père ou de cette arrière grand mère en nous. Identifier d’où on vient, de quelle lignée, de quel milieu, sans jugement, avec accueil de ce qui est, amplifie le fondement de sa propre identité. 

Très souvent, aller creuser dans son propre système familial permet d’activer des libérations transgénérationnelles. 

 

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